Notre mission

Mémoire 2000 mène chaque année eueu ddkdkkdl rubi fldsjfql eoeemleml q fdlfjmlfj.
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mardi 5 décembre 2006

Némo

http://www.leparisien.com/home/maville/paris/article.htm?articleid=275930447


Figure capitale
« Pour moi, Paris, c'est fini ! »

UNE ÉTRANGE silhouette noire faite au pochoir, vêtue d'un imperméable au col relevé, coiffée d'un chapeau melon et qui se balade avec une petite valise. Elle a parfois la tête en bas, se repose dans un hamac, court après son parapluie ou son ballon rouge en chevauchant une bicyclette... Vous ne connaissez peut-être pas le nom de Nemo, mais vous connaissez sûrement son oeuvre, croisée au hasard des rues de Belleville et de Ménilmontant dans les années 1970 puis plus tard sur bien d'autres murs de la capitale.
Aujourd'hui, l'artiste a décidé d'exposer autrement : il ne peint plus sur les façades parisiennes car « la capitale est aujourd'hui saturée d'images ». Et il raconte son histoire : « J'habitais alors rue de la Mare, dans le XX e arrondissement, explique Nemo, aujourd'hui âgé d'une cinquantaine d'années, en fumant une énième cigarette dans son petit appartement qui surplombe Montreuil. Le quartier était en pleine phase de destruction-reconstruction. Sur mon trajet quotidien, il n'y avait que des murs gris, des murs murés... c'était triste. » Il construit alors un pochoir, aux contours de Little Nemo, tiré de la bande dessinée de Winsor McCay. Il parsème le trajet jusqu'à l'école de son fils de ce petit bonhomme ensommeillé et vêtu d'un pyjama. « J'ai commencé la nuit, seul avec mon pochoir, explique Nemo. J'avais un autre métier la journée ! Puis les gens ont commencé à me connaître. Ils s'arrêtaient et m'aidaient à tenir mon pochoir. J'entendais aussi parfois des conversations très positives à mon sujet... même si personne ne savait que j'étais l'auteur ! » Alors, il continue. Puis, subitement, s'arrête. Car en même temps que son fils, Little Nemo grandit et disparaît totalement de la palette de l'artiste. A la place, quelques années plus tard, c'est une étrange silhouette, mi-gangster mi-détective privé, qui réapparaît sur les murs de la capitale. « Pourquoi en noir ? Qui est-ce ? Pourquoi a-t-il un parapluie et un ballon et non un pistolet ? Il a fait couler beaucoup d'encre, sourit Nemo. Mais je n'ai aucune réponse à donner. Il est une contradiction : il donne à penser, à imaginer... » Et à rêver. La police dans tout ça ? « Au début, je suis allé quelquefois au poste. Mais avec mon pochoir de petit bonhomme sous le bras... il ne m'est jamais rien arrivé. Surtout que je peignais sur des murs promis à la démolition. » Puis, après quelques années, l'homme aux pochoirs à la voix douce et grave à la fois commence à être connu. On lui commande des oeuvres, sur des immeubles, des théâtres. En 1998, pour la Coupe du monde, il décore les bords de l'autoroute qui mène au Stade de France de la silhouette noire devenue pour l'occasion fan du ballon rond. Et il y a trois ans, il peint pour le Forum social européen dans quelques rues de Bobigny. « Cette dernière expérience m'a donné des idées. Quand on parle des banlieues, le maître mot est l'irrespect. Pourtant, depuis trois ans, mes dessins à Bobigny n'ont jamais été dégradés, tagués, abîmés. Cela me donne envie de continuer en banlieue, sûrement dans le 93. » Car pour Nemo, Paris, c'est bien fini. « Il n'y a plus d'espace. C'est comme si le livre s'était fermé. »
MENILMONTANT (XX e ), JUILLET 2004. Nemo ne peint plus sur les façades parisiennes. Il estime que « la capitale est aujourd'hui saturée d'images » . (LP/M.M.)
Coucou, un message pour Olivier.

lundi 4 décembre 2006

Vache lumineuse

Encore la vache...


Ca change sans cesse...

O la vache!

C'est une vache... J'adore les vaches, elles sont paisibles et apaisantes.

Et j'aime beaucoup les lumières colorées.

Jimmy a trouvé la combinaison parfaite, une vache lumineuse qui change de couleur.

samedi 2 décembre 2006