Notre mission

Mémoire 2000 mène chaque année eueu ddkdkkdl rubi fldsjfql eoeemleml q fdlfjmlfj.
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samedi 22 septembre 2007

La phrase du jour

"Il va falloir que tu bouges ton body comme jamais!"

vendredi 21 septembre 2007

Et pourquoi pas à la cité Antoine Loubeyre?

On pourrait peut être aussi créer un centre d'apprentissage de la langue française pour les "journalistes" du Parisien... pour qu'ils apprennent que le mot s'écrit "discussion".

http://www.leparisien.fr/home/maville/paris/article.htm?articleid=276221563

Ateliers
Les Frigos en veulent plus

Sébastien Ramnoux

vendredi 21 septembre 2007 | Le Parisien
ON LES AURAIT presque oubliés, noyés dans le nouveau quartier de Paris-Rive-Gauche (XIII e ). Mais la centaine d'artistes qui réside toujours dans les anciens entrepôts frigorifiques de la SNCF ne désarme pas. Objet de leur dernier combat : la friche qui jouxte leurs ateliers.

« Le projet de la mairie de Paris n'est pas satisfaisant, estiment Claire, Guillaume et Christian, de l'association APDL 91. Ils veulent encore faire des bureaux alors qu'ici il y avait une opportunité extraordinaire de construire, en liaison avec nous, un immeuble entièrement consacré à des PME-PMI artistiques, un secteur très porteur. » Pourtant, après des années de lutte, les artistes des Frigos ont arraché à la mairie la programmation de 4 000 m 2 d'ateliers d'artistes dans ce futur immeuble. « On a déjà fait énormément de concessions, là je commence un peu à saturer, rétorque Jérôme Coumet, le maire PS du XIII e . C'est vrai qu'on a du mal à créer à Paris un pôle d'entreprises artistiques et d'arts appliqués. On aurait peut-être pu être plus novateurs mais, en même temps, les quelques bureaux qui vont être construits vont servir à financer le reste, comme un centre d'animation pour les jeunes du quartier ! »
« Pas de discution sur l'avenir du bâtiment » Les artistes n'en démordent pas : « Dès que le permis de construire sera déposé, on l'attaquera ! » Cette passe d'armes est l'occasion de clarifier leur avenir : qu'est-ce que la mairie de Paris compte faire d'eux, depuis qu'elle a racheté le bâtiment en 2003 ? « C'est un peu flou, résume Guillaume, peintre résidant. La mairie vient de lancer de vastes travaux de sécurisation du bâtiment. Mais il n'y a pas eu de discussion sur son avenir, le ravalement... » En outre, dénoncent les résidants, « certains travaux sont faits en dépit du bon sens et coûtent horriblement cher. Ce chantier de sécurisation coûtera plus de 2 M€, alors qu'une première étude de la chambre des notaires l'avait évalué à 1 M€. » La crainte des artistes est de voir les Frigos repris en main par la direction des affaires culturelles de la Ville pour devenir un établissement culturel dont la politique leur échapperait. « Il n'en est pas question ! martèle Christophe Girard, adjoint PS chargé de la culture. Notre objectif est de maintenir les occupants. Il n'y a pas de sous-entendus. »

mardi 18 septembre 2007

Menace sur les commerces 2

On demandera aux mécontents de Pernety de demander au gouvernement pourquoi cette loi n'est toujours pas entrée en vigueur...

http://www.leparisien.fr/home/maville/valdemarne/article.htm?articleid=276218126

Economie
La préemption pour sauver les magasins de centre-ville Christine Mateus

mardi 18 septembre 2007 | Le Parisien

COMMENT s'y prendre pour que le secteur commercial d'une ville reste dédié au commerce de proximité. La section val-de-marnaise de la chambre de commerce et de l'industrie de Paris (CCIP) a plusieurs pistes et notamment un outil législatif : l'article 58 de la loi du 2 août 2005 en faveur des PME qui offre la possibilité aux communes d'exercer leur droit de préemption lors de la cession de fonds de commerce. Un moyen de barrer la route à d'éventuels promoteurs immobiliers alléchés par des bâtiments qui se libèrent en raison de l'arrêt de l'activité.



Avant cette loi, seuls les biens immobiliers étaient concernés par les dispositifs de préemption. Problème : les décrets d'application de cette loi n'ont pas encore été promulgués. Cela n'empêche pas la CCIP de mener des pourparlers avec plusieurs communes du département. Une liste pour le moment gardée secrète par l'organisme. S'il est peu probable que les villes rachètent de manière massive des cellules commerciales, pour des raisons essentiellement financières, la chambre souhaite - en partenariat avec les communes - définir des périmètres de préemption et « anticiper », insiste Jean-Luc Neyraut, directeur de la CCIP à Créteil.

« La bonne façon d'utiliser le droit de préemption est encore de ne pas avoir à le faire, ironise le responsable. En fonction de la cartographie qui sera élaborée, nous allons encore plus nous rapprocher des commerçants situés sur ces zones stratégiques. Pour les personnes proches de la retraite, entre autres, nous allons leur proposer d'intégrer notre dispositif Passer le relais pour les aider à transmettre leur commerce. »

Maintien d'une offre diversifiée

L'objectif est de permettre la sauvegarde du commerce de proximité et le maintien d'une offre commerciale diversifiée au sein de périmètres communaux définis précisément.

Par conséquent, toute cession de fonds de commerce ou de bail commercial inscrite dans le périmètre de sauvegarde devra être subordonnée à une déclaration préalable auprès de la commune. Cette dernière disposera alors d'un délai de deux mois pour éventuellement se porter acquéreur du fond ou du bail commercial. La délimitation de ce périmètre est aujourd'hui en cours d'élaboration. Un travail titanesque compte tenu des 17 000 commerces que compte le département.

Menace sur les commerces

Vu dans le Parisien de ce jour:

http://www.leparisien.fr/home/maville/paris/article.htm?articleid=276218193

Vie de quartier
Une banque de plus, deux petits commerces en moins R.D.

mardi 18 septembre 2007 | Le Parisien


EN FACE, une agence Caisse d'épargne. A gauche, une BNP-Paribas. A droite, une CIC.

Dans un rayon de 50 m autour du métro Pernety (XIV e ), pas moins de trois banques. Et c'est pas fini, une quatrième, le Crédit agricole, devrait s'ajouter prochainement au nombre, en lieu et place de deux commerces de proximité - la boulangerie le Fournil de Paris et la Boucherie du Limousin, située 77, rue Raymond-Losserand. Un permis de construire a déjà été déposé à la mairie. « Mais la promesse de vente n'est toujours pas signée », assure le boucher Jean-Marc Lenne. « C'est faux, affirme René Dutrey, premier adjoint au maire du XIV e et président du groupe des Verts au Conseil de Paris. S'il n'y avait pas eu vente, il aurait été impossible de déposer un permis de construire. »

En tout cas, cette perspective est loin d'enchanter les riverains. « Il y a déjà trop de banques dans le quartier, fustige Alain Dietsch, retraité de 60 ans. Je ne veux pas perdre mon boucher. C'est le seul du quartier. Il faut défendre ces commerces de proximité qui disparaissent. » Traînant son cabas à roulettes, Olivier Nouailles (51 ans) regrette ce « grignotage sournois des grandes enseignes et des banques ». « Je préfère les contacts humains, poursuit-il. Or, la conversation d'un distributeur de billets est assez limitée... » Âgée de 82 ans, Mme Marguerite habite ici depuis soixante ans. « Je suis très déçue, souffle cette veuve. Je suis prête à lancer une pétition pour conserver mon boucher et mon boulanger. Je n'aime pas la manière dont évolue notre quartier, avec toujours moins de petits commerces. Si mon mari avait vu ça... »

Olivier Nouailles émet une idée : « La mairie devrait pouvoir empêcher ces ventes ou préempter les lieux. » Une solution qui a les faveurs de René Dutrey mais « malheureusement, c'est impossible », regrette l'élu. « Pour le moment, à la mairie du XIV e , Pierre Castagnou n'a pas encore donné son avis. Mais j'espère bien que l'Hôtel de Ville refusera finalement de délivrer le permis de construire. Les petits commerces représentent un élément essentiel de la vie du quartier. »


Que disent ces riverains à propos de l'action du Préfet de Sarkozy qui refuse tout contrôle de la Ville sur la transformation des commerces ?

dimanche 9 septembre 2007

Expo "Pirates"


Mon Doudouboy a été sélectionné parmi des centaines de candidats pour participer à l'expo... C'est très beau et l'expo sera fort intéressante.